A -

A la une           0           Plan du Site

A +

Textes
Retour

15-Visite de la truffière
15-Sortie du 19 mai
Egalité des chances à l’école
Reglement interieur
14-Education citoyenne
13-Bénévolat








13-Bénévolat    


Introduction
Lorsque Mireille PICHEREAU m'a proposé d'intervenir pour parler du bénévolat, j'ai pensé que ça ne serait pas chose facile dans la mesure où ce vocable nous renvoie à nos propres expériences, à nos valeurs, à notre degré d'engagement dans la société. C'est donc très personnel et, pour, moi, pour traiter ce sujet, il faut à la fois s'impliquer personnellement mais en prenant suffisamment de hauteur pour permettre à chacun de se sentir concerné et élargir ainsi le champ de réflexion.
Pour cette présentation, je me suis inspiré des deux façons dont j'ai vécu le bénévolat. Tout d'abord en partant de ma propre expérience de bénévole dans des domaines variés : (président d'une association de parents d'élèves, trésorier d'un club philatélique et plus récemment trésorier de l'antenne lunévilloise de la Croix Rouge Française). En second lieu en tant que professionnel (directeur d'une maison d'enfants à caractère social) et élu (adjoint au maire de Lunéville chargé des affaires sociales et vice président du CCAS). Ces deux dernières expériences m'ont amené à collaborer avec des bénévoles pour mener à bien des actions que nous avons développées ou que nous développons en direction de populations différentes, de jeunes et de moins jeunes. Je souhaite que cette option vous convienne et qu'elle nous permette d'avoir un échange à l'issue de cette présentation.

1. Le bénévolat : les différentes formes d'engagement.
Le bénévolat, c'est la situation dans laquelle se trouve une personne qui accomplit une action, un travail bénévole sans être rémunérée, sans y être tenue, sans obligation, à titre gracieux. On peut dire que le bénévolat a toujours existé et a suivi l'évolution de la société. A l'origine, le bénévole était une personne dévouée qui aidait les plus déshérités. Il répondait ainsi à des besoins qui n'étaient pas pris en compte par la société. Petit à petit, cette même société s'est dotée de dispositifs répondant à des situations préoccupantes entrant dans le champ du service public. Bien que régulièrement développés pour répondre à des besoins de plus en plus importants, ces services ont atteint leurs limites. C'est ainsi que le bénévolat s'est développé en prenant en compte cette réalité. Et ainsi, aujourd'hui, on peut considérer plusieurs formes d'engagement de bénévoles qui offrent du temps dans des situations particulières.
La première, c'est celle qui a gardé l'esprit du bénévolat de départ dans des interventions de type plutôt individuel, de proximité, de voisinage, en franc tireur en quelque sorte, en dehors de tout cadre juridique, basée sur la générosité, l'altruisme, la disponibilité. C'est celle qui rend des services aux personnes qui ont perdu une partie de leur autonomie (santé, handicap, isolement, grand âge ...). C'est grâce à ces bénévoles que le maintien à domicile est rendu possible, en coordination avec les familles, les professionnels. Nous avons de nombreux exemples comme la voisine qui dépose les courses et qui en même temps vérifie que tout va bien, le voisin qui vient fermer les volets le soir ou assurer le déneigement du trottoir, la personne qui a pris l'habitude de visiter les personnes malades ou handicapées ...
Ensuite la forme qui s'est structurée en association, en gardant le même esprit que les pionniers, regroupant des bénévoles pour agir en direction de populations défavorisées en leur apportant des aides matérielles et morales. Basses "" la solidarité et l'humanitaire, les actions menées peuvent avoir une dimension nationale, voire internationale. Là également, nous avons de nombreux exemples proches de nous comme la CRF, le secours populaire, le secours catholique, les restaurants du cœur.
Une autre forme également structurée en association pour défendre des intérêts communs, telle que les associations de parents d'élèves, de locataires, ...
Une autre qui s'est développée à partir du regroupement de personnes sous forme d'associations ou de clubs dans un dessein commun, à des fins sportives, culturelles, environnementales ou de loisirs, composés de membres actifs et de dirigeants. La liste est longue et je pense qu'il n'est pas utile de donner des exemples.
La dernière forme, c'est celle qui s'est développée dans les collectivités en complémentarité des missions confiées à des professionnels. Il s'agit de collaborateurs de services municipaux, en particulier dans les CCAS. Par exemple intervenants pour l'organisation de fêtes comme le repas des seniors ou l'animation d'activités dans les résidences de personnes âgées et maisons de retraite.

2. Que dit-on du bénévolat ?
Lorsque l'on parle de bénévolat autour de soi, nous pouvons avoir des réactions très diverses. Certains en rient, pensant que le bénévole est quelqu'un qui s'ennuie chez lui, qui ne sait pas quoi faire de son temps et qui a trouvé de quoi s'occuper.
Pour d'autres, c'est une personne qui cherche à se faire connaître et, pour ne pas rester dans l'anonymat, s'engage dans une association pour que l'on parle d'elle à partir de son engagement.
Pour d'autres, c'est une personne qui a accepté d'être engagée dans une association ou un organisme et qui se fait exploiter car elle ne leur coûte rien. D'ailleurs, elle prend la place d'un salarié alors qu'il y a tant de chômeurs !
D'autres disent qu'il ne faut pas leur parler de bénévolat. Ils ont travaillé toute leur vie et veulent maintenant prendre du temps pour eux, éventuellement pour leur famille et profiter pleinement de la vie. Ils n'ont pas envie de s'investir pour les autres. En clair, les autres n'ont qu'à se débrouiller seuls. Et ils terminent en disant : "Moi, je n'ai pas besoin des autres".
D'autres encore disent qu'ils ont du temps, qu'ils ont des compétences qu'ils pourraient se mettre au service des autres mais ne savent pas où s'adresser.
D'autres voient le bénévolat comme un devoir, comme une dette envers la société qui leur a permis d'être ce qu'ils sont devenus. Ils sont prêts à s'engager dès qu'ils le pourront, quand ils auront plus de temps, ajoutant qu'ils veilleront à ne pas trop s'engager pour se garder du temps pour soi.
L'engagement dans une association comme bénévole peut aussi permettre à une personne en recherche d'emploi de faire valoir cette expérience dans un CV plutôt que de rester chez elle, cette démarche risquant fort d'être appréciée.
Enfin, pour les derniers, ils sont déjà engagés et disent tirer beaucoup de satisfactions de donner de leur temps pour les autres, avec le double bénéfice de remplir un rôle dans la société et d'en tirer un épanouissement personnel en trouvant du sens à leur vie.
Pour être complet, j'ai aussi rencontré des personnes qui étaient engagées et qui n'ont pas poursuivi pour diverses raisons : mauvaise évaluation de l'investissement nécessaire, objectifs posés dès le départ non respectés, incompatibilité d'humeur avec les responsables ...
Comme nous le voyons, tout dépend des valeurs que nous portons, de ce qui est posé comme vrai, beau, bien, selon des critères personnels ou sociaux, et qui sert de référence, de principe moral pour chacun d'entre nous. C'est ce qui fait que les bénévoles sont tous différents mais qu'ils se retrouvent car ils ont tous accepté de prendre une place dans la société dans laquelle ils vivent.
Ainsi, on peut dire qu'il existe une certaine complémentarité entre les différentes formes de bénévolat, en pensant qu'un jour tous les besoins pourraient être couverts.

3. Le bénévolat. Les besoins aujourd'hui.
Le nombre de bénévoles augmente régulièrement et c'est un constat très encourageant. Cependant, le monde associatif et les services publics susceptibles d'accueillir des bénévoles manquent de candidats. On recense pourtant 16 millions de bénévoles, soit près du tiers des Français de plus de 18 ans. Mais seuls 40 % d'entre eux sont des bénévoles {( réguliers », parce que disponibles quelques heures par semaine, les autres ne participant que très ponctuellement à des manifestations comme des fêtes de quartier, des repas de seniors ...
Bien des associations sont confrontées à d'importantes difficultés. Dans un contexte de vieillissement de leurs effectifs et d'inflation bureaucratique, elles peinent à trouver des bénévoles susceptibles de prendre des responsabilités d'encadrant. Et dans les secteurs les plus « chronophages », comme l'est le domaine de la solidarité, les difficultés sont telles qu'elles menacent les activités engagées.
Par exemple, la croix rouge a deux missions essentielles : le caritatif et le secourisme. Pour le caritatif, nous avons besoin de bénévoles pour accueillir des personnes en difficulté et les aider matériellement et moralement. Apporter une aide alimentaire, c'est bien. Mais recevoir la personne, prendre du temps pour l'écouter, l'accompagner quelque temps si nécessaire, ou éventuellement l'orienter vers des services qui pourront prendre en compte sa situation, c'est mieux. Nous voyons que ça demande un certain nombre de personnes pour assumer tout cela et nous sommes loin du compte. Nous constatons en parallèle que les travailleurs sociaux qui devraient assurer cet accompagnement ne semblent plus avoir le temps.

Pour le secourisme, il en est de même. C'est la présidente qui assure la formation initiale faute de formateur, mais nous n'avons plus d'équipe de secouristes bénévoles pour intervenir lors de grandes manifestations qui se déroulent essentiellement les week-ends. Il faut dire aussi que la formation aux premiers secours est payante et beaucoup de familles hésitent à engager cette dépense.
Dans les services publics susceptibles d'accueillir des bénévoles, on peut imaginer ce qu'ils pourraient apporter à côté des professionnels dans le monde de l'enfance et de la jeunesse, en particulier dans l'accompagnement des jeunes qui ont des difficultés à suivre dans leur scolarité, de ceux qui ont complètement décroché ou de ceux qu'il faut soutenir dans l'orientation professionnelle qu'ils ont choisie et qui leur convient. Quelques associations, en lien avec les services de la ville, assurent des créneaux mais ne peuvent répondre à tous les besoins. Porté par le CCAS, le dispositif de réussite éducative intervient auprès d'enfants signalés par les enseignants. Des animateurs vacataires interviennent mais ne peuvent répondre à toutes les demandes et des bénévoles seraient les bienvenus.
Nous pensons aussi aux personnes en rupture pour toute sorte de raisons qui vivent une forme d'exclusion et qu'il faut accompagner et soutenir pour les réinscrire dans un projet de vie réaliste et qui leur correspond. Ces personnes, dont certaines sont suivies dans le cadre du RSA, sont accompagnées par un travailleur social, du CG ou du CCAS, mais leur disponibilité ne leur permet pas de consacrer le temps qui serait nécessaire. Heureusement, nous avons réussi avec des bénévoles à créer un atelier informatique. Cet atelier a pour but de rendre ces personnes plus autonomes en utilisant l'informatique pour le suivi de leur dossier avec la CAF ou Pôle emploi ou dans des démarches de recherche d'emploi.
Le CCAS gère trois logements - foyers à Lunéville et veut développer un service d'animation au sein de ces structures. C'est absolument indispensable pour des personnes qui ont quitté leur logement pour choisir un habitat collectif. Des animations ont été mises en place mais elles devraient être diversifiées (atelier mémoire, atelier équilibre, gymnastique douce, chant chorale, initiation à l'informatique, sorties théâtre et cinéma sans oublier les activités manuelles et les jeux de société). Nous avons lancé un appel pour recruter des bénévoles mais nous n'avons pas eu beaucoup de réponses.
Nous n'oublions pas les personnes porteuses de handicap, malades, fragilisées, isolées, âgées qui ne bénéficient plus de leur totale autonomie et qui auraient besoin de menus services comme faire leurs courses et leur rendre visite par la même occasion. Tout le monde s'accorde à dire qu'il faut privilégier le maintien à domicile, mais il faudra construire une coopération indispensable entre les personnes concernées, leur famille, les professionnels, mais aussi les bénévoles de proximité.
Nous avons vu que la disponibilité des professionnels est limitée. Heureusement, des collaborations existent entre les administrations de l'Etat (établissements d'enseignement, mission locale), du département (service social, service dédié aux personnes âgées ou handicapées) de la commune (services dédiés à la population aux écoles, aux sports, à la culture), du CCAS (pôles social, petite enfance, seniors) mais elles devraient encore être développées. Il faut maintenant accepter d'admettre que l'apport de bénévoles est indispensable aujourd'hui si l'on veut répondre aux attentes des personnes qui en ont le plus besoin.

4. La promotion du bénévolat.
Compte tenu de ce que nous venons de dire plus haut, il est urgent de promouvoir une politique du bénévolat, inspirée des pays anglo-saxons où il peut se déployer sans la moindre entrave. Au point où l'on s'excuse de ne pas être bénévole quand on est empêché de l'être. Des obstacles existent essentiellement autour des limites en matière de responsabilité qu'il faudrait lever.
Bien sûr, l'Etat peut encourager des initiatives comme France bénévolat qui soutient les associations à la recherche de bénévoles, contribue à leur formation et les informe de leurs droits. Il peut prendre des mesures pour faciliter le quotidien des bénévoles (financement d'assurance ...). On peut aussi parler de la création du service civique qui pourrait être rendu obligatoire pour tous les jeunes.
Mais ce sont les collectivités locales, et plus particulièrement les communes, qui sont les mieux placées pour agir en soutenant la vie associative. Elles doivent se mobiliser davantage pour recenser les besoins, promouvoir le bénévolat et repérer les bénévoles potentiels car c'est dans la proximité que l'on peut diversifier l'offre de bénévolat qui ne peut être durable que s'il est source de plaisir.
C'est des élus locaux que l'on peut attendre l'avènement d'une ère nouvelle pour le bénévolat. C'est quotidiennement sur les lieux de vie qu'il faut communiquer sur l'intérêt d'être bénévole en engageant des actions avec les écoles, les collèges et lycées, mais aussi les entreprises en sensibilisant tous les salariés pour qu'ils participent à cette promotion. Et s'ils ne peuvent s'engager dans l'immédiat, ils pourront venir grossir les rangs des retraités actifs.
Certaines initiatives périclitent faute de bénévoles et des bénévoles ne parviennent pas à identifier le bon projet pour s'investir. Pourquoi ne pas créer un espace, une maison du bénévolat, où se rencontreraient les associations qui présenteraient leur activité et les habitants qui souhaiteraient s'investir. Il s'agirait ensuite d'orienter et d'accompagner les personnes intéressées dans la construction d'un parcours bénévole avec leurs envies et les besoins du territoire.
Le bénévolat nécessite comme nous l'avons vu un engagement, une disponibilité qui reposent sur des valeurs. Mais compte tenu de ce qui est demandé parfois pour certaines actions, il serait nécessaire que le bénévole possède certaines compétences pour assumer la mission qui lui sera confiée. On pourrait également parler de stage de découverte, de période d'essai et, si nécessaire, de temps de formation. C'est d'ailleurs ce qui commence à se mettre en place à la CRF (bienvenue bénévole) et au secours catholique.

5. Bénévolat : vers un nouveau contrat social :
Devant tous ces constats, un nouveau contrat social pourrait redonner tout son sens à une autre conception de la citoyenneté, une autre conception de la solidarité, une autre conception de l'acte politique, en prenant comme assise la devise de la république.
Au côté de liberté et égalité, figure fraternité qui se définit ainsi : lien de solidarité et d'amitié entre les membres d'une société. Liberté et égalité doivent être au service de la fraternité et ainsi pourrait alors émerger une société moins individualiste, plus fraternelle, plus solidaire. Mais ce ne sera possible que si tous les citoyens cessent d'attendre tout de l'Etat en s'impliquant personnellement.
La solidarité traduit avant tout l'engagement juridique de la société envers les plus faibles. Elle est indispensable et chaque avancée sociale doit être saluée, non seulement pour la réponse qu'elle apporte aux personnes en difficulté, mais aussi parce qu'elle contribue à la cohésion de la société.
La fraternité, à la condition qu'elle ne reste pas perçue comme elle l'a longtemps été, soit comme une valeur de rassemblement entre gens qui se ressemblent, soit comme une aspiration de type caritatif, pourrait donner une autre dimension dans la construction de ce nouveau contrat social. La fraternité pourrait alors s'identifier à une démarche coopérative qui a pour ennemis l'exclusion, la domination, l'intolérance. Il faut transformer l'énergie de rejet en énergie de changement.
L'élaboration de ce contrat social doit se faire avec le concours de tous les maillons de la chaîne humaine. La cohabitation des âges structure une société parce qu'elle fait la synthèse entre le passé et l'avenir, parce qu'elle témoigne de la permanence d'une dynamique de réciprocité, parce qu'elle forge l'identité collective.
Tous les lieux qui sont appelés à promouvoir et à développer ce nouvel élan doivent s'ouvrir plus largement. Je pense à l'école, aux différentes associations, aux services publics. Au côté des professionnels, les bénévoles doivent avoir une plus grande représentativité. C'est là qu'un effort doit être porté pour permettre un travail de collaboration mêlant la technicité et la disponibilité, en veillant à ne pas opposer bénévoles et professionnels.
Vivre ensemble ne peut résulter que d'un rapport harmonieux entre liberté individuelle et responsabilité collective, entre droits et devoirs.

6. Le Bénévolat - Signes d'espérance
Comme nous l'avons vu dans les précédents chapitres, les relations entre générations sont déterminantes pour structurer la société. Les rencontres intergénérationnelles se multiplient de plus en plus. Au CCAS, des élèves de primaire viennent régulièrement rendre visite aux seniors des résidences. Après avoir entendu des témoignages des anciens, c'est au tour des jeunes à parler de ce qu'ils vivent. S'en suit l'organisation de jeux de société pour terminer l'après - midi par un goûter. Des relations se sont établies et c'est toujours avec beaucoup de plaisir que se font les retrouvailles.
Depuis quelques mois, un atelier informatique a été mis en place au CCAS. Animés par des bénévoles, il était au départ dédié aux personnes suivies dans le cadre du RSA. Le groupe s'est ouvert aux seniors de la ville avec des temps de partage fort intéressants.
Plus récemment, la CRF de Lunéville a été sollicitée par une étudiante en master. Dans son cursus de formation, elle a l'obligation de découvrir une association pendant une période donnée, avec comme objectif de permettre d'expérimenter une modalité d'engagement personnel dans le secteur sanitaire et social associatif. Nous nous réjouissons de cette initiative et nous avons bien sûr signé la convention proposée par l'université.
Je dois ajouter que l'étudiante était à nos côtés dans les supermarchés vendredi et samedi derniers pour la collecte organisée par la banque alimentaire.
Et je voudrais ce soir terminer en citant l'exemple du partenariat qui se développe entre l'ONM, l'AMOPA et l'association des médaillés de J. et S. dont la présidente, mon amie Mireille Pichereau, nous a invités à nous retrouver ce soir. Ces associations partagent des valeurs communes et, tout naturellement, leurs échanges ont abouti à créer le prix de l'éducation citoyenne dans le cadre d'une convention avec les services de l'éducation nationale.
Cette initiative a pour objectif de promouvoir et valoriser la citoyenneté, l'exemplarité, la solidarité et de servir de passerelle entre les bénévoles actuels et les jeunes qui seront les bénévoles de demain.
Tous ces exemples nous prouvent que les choses bougent et c'est très réconfortant. Ce sont les premières pages du nouveau contrat social qui s'écrivent et nous souhaitons qu'il yen ait beaucoup d'autres.
Merci d'avoir eu la patience de m'écouter.

Discours de Bernard RECOUVREUR à la soirée du Bénévolat le 3 décembre

oRetour à la page initiale